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De la Honte à la lâchitude

Orchestrant de main de maître et instrumentalisant l'utilisation de son enfant pour répandre son venin, cet adulte bénéficie d'un double exploit, celui de marier la honte à une attitude lâche.


Le murmure des murs

Toi, qui me lit, ne me nie, ni de mépris
seul le cris, épris de mon esprit, je vis
dans la difficulté de la city, je survis
cultivant cet art qui me remplis,
quand mon coeur, en sourit, je suis.
Un petit mix de mot et Une pensée particulière à tous ceux et celles qui font de l'art.

Le Bambou de l'esprit et le nerf de la paix

Sur le parcours de la résistance, trois éléments sont essentiels, l'esprit, le coeur et le corps, si l'esprit est suffisamment fort pour ne pas rompre, il doit cependant être attentif aux deux suivants.
Le coeur, vital et nécessaire quand le premier vacille dans les profondeurs envahissantes des eaux troubles, puis enfin le corps, car si les deux premiers sont emprunt à préserver l'équilibre l'enveloppe corporelle aux organes vitaux prennent néanmoins de plein fouet les répercutions émotionnelles des tensions parfois insoutenable et c'est malgré tout quand le corps exprime sa souffrance que l'esprit peut emprunter les ailes de la pensée.

Dans la démarche de ceux qui veulent la paix, sous couvert d'une force plus que d'une faiblesse, ceux-ci seront toujours confronté aux "malins" ou l'art de la guerre est vécu comme une quête, celle de la destruction.
Ces deux visages de la confrontation accomplissent souvent leur destiné lorsque l'un des deux se complait à combattre sans loyauté ni compassion.

Le nerf de la paix

Ce nerf là, ne s'oriente pas avec outrance à la gentillesse et à la naïveté, car gentil n'a qu'un œil et l'autre veille à l'incrédulité, mais à la bonté ou l'égalité des chances et les chemins du possible ce font l'écho du pardon envers les offances de ces ennemis, car la bonté engendre la bonté sauf chez les intégristes de la bêtise humaine, c'est ainsi que l'on peut mesurer la vie d'une personne aux nombres de ces ennemis et de ces collaborateurs.

Le virus de la mobilisation

Du haut de la grande préméditation et sous l'emprise du processus de la démolition, le virus entame sa quête de propagande imposant sa déviance à l'intégrité de la victime, se bornant à se dégager de sa culpabilité et de sa souffrance, il prend bien soin de corrompre les esprits complaisants et c'est d'une mutation rigide qu'il aime admirer ces oeuvres d'une violence "propre" et sournoise, non satisfait de l'effraction psychique du sujet c'est tel un vampire qu'il aspire à vider la substance que son miroir d'ego ne possède pas, une fois que l'éponge gorgé de la vitalité touche à sa fin, une fois que le cirque et les tartufferies se lassent des jeux et de leur jouet, le laboratoire peut ainsi lancer le moteur de l'exacerbation de la critique et de la destruction, faisant naitre dans le virus la capacité de faire grandir le noyau de la sacralisation de l'objet désiré.
De l'attraction du vide, la victime peut éveiller en elle un appel d'air énergique, une adaptation à cette épreuve et regarder en face le monde des blessures, le leure de la faille masochiste laissé par le venin du virus, peut laisser place à la remobilisation des forces et c'est dans l'ombre des nouvelles émotions que la restructuration entame son chemin, imposant un antidote aux infractions tentant de traumatiser la personnalité du sujet.
Il reste néanmoins à certains maillons de la mobilisation le soin de se doter d'un vaccin contre les empreintes des effets collatéraux d'un éventuel boomrang aux vertus composées de boules de neige redondante.

Le voyage des règles

Lorsque les eaux limpides des règles deviennent floues, on peut soit embarquer et ramer dans la transparence ou naviguer dans la clarté.

Avoir réponse à tout

Qui pourrait se venter de faire partie de la famille des prétentions et des impostures ?
La métaphysique entrant en scène, le jeu des illusions peut rapidement éteindre la flamme de l'égo, on peut néanmoins, avec sincérité, tenter d'apporter sont lôt de regard et de différence.

Le discours du séducteur

C'est parce qu'il est en campagne que la versatilité du séducteur change la forme du ton de son discours, mais que serait-ce la forme sans le fond.

Léclipse de la critique face aux penseurs

Dans l'horizon de la bienveillance tranquilité de son confort, le crépuscule de la perfidie peut y siéger en maître, notamment lorsque la lumière de la crainte et l'obscurité du rejet ne font plus qu'un.

Le V du coeur

Dans le champs de l'hostilité et des adversités, si le coeur est bon, l'esprit serait bien tenté de l'écouter, ceci pouvant permettre de prendre un chemin opposé ou reigne la haine, la violence et le chaos.
Dans le meilleur des cas il reste préférable d'être un poid plume de l'esprit qu'un poid lourd de la barbarie.

La fesse de bouc émissaire

Il est de bon ton de sortir du chemin des ombres, l'individu choisi sur commande, car le processus d'autoritarisme asservit à sa cruauté rencontre sa destiné l'orsque le cible refuse de se résigner.

Le sel du manipulateur

Non satisfait d'ajouter de l'huile sur le feu à coup de provocations et d'humiliations, le sel peut être utile à ce derniers, car il sait qu'avec une quantité abondante le met de la souffrance risque d'être suffisament étouffant, augmentant le plaisir d'offrir un excellent repas cynique à sa victime.
Mais si cette dernière connait le mécanisme de son bourreau, elle sait qu'un bon repas est emprunté d'une culture ou l'estime de soi et le respect sont aussi important que celui que l'on possède envers autrui.
Il faut nécessairement se garder de tomber dans le camp de concentration tyrannique ou ce mêle rigueur et contrôle pervers de l'esprit, seul la discipline de cet esprit trouve son salut sur le chemin d'un coeur en paix.

Les leçons des maitres

Il est toujours bon de temps à autres de s'en prendre une, il n'y a d'ailleurs aucune honte à corriger certains de ces défauts comme il n'y a aucune rougeur de l'ego d'être tour à tour dans l'ignorance et la connaissance.

Le tyran et l'esclave

Le véritable tyran n'est-il pas celui qui suit aveuglément les dictats d'un individu et de sa horde de loup ?
Pourrait-on affirmer que cette extrème serviabilité est le fruit d'un suivi calculé ou imposé pour les uns et d'une pauvreté chez les autres ?
Les piqures de la tension et les doléances ne sont-elles pas les deux mamelles du coît tyrannique ?

Le gibier et la meute

Tel un galop royal marchant au pas, la meute unis ces efforts pour le festin du simulacre du plaisir, animé de pulsion et de passion sauvage, elle prépare avec délectation la traque de son animal favori, rompu aux sirènes de la jouissance, la bave des bouches folles accompagne avec le plus grand soin le plus sincère des rictus de la chasse, équipé de sabots sointant la plus belle des chevauchés, les cavaliers aux beaux rubants sussurent l'espoir de mettre ce gibier aux côtés des trophés du triomphe des animaux chassés.

Les saints patrons des écoliers

O grand maître de l'enseignement, O toi qui du haut de ta grande hauteur tu m'accompagnes dans mon apprentissage, toi qui me vide et me rempli à chaque instant. D'une latente compagnie tu me donnes l'occasion de me nourrir de ton savoir et de son expression, mais qui serais-je pour ne pas vous en être reconnaissant, qui serais-je pour vous suivre aveuglement, car maitre, l'écolier que je suis continueras sans doute au coin de la rue d'apprendre l'école de la vie, mais jamais O grand jamais je serai l'esclave de votre ombre.

Les mensonges et la vérité

La vérité demande du temps, la vérité à toujours un prix.
En dosant la priorité, 10000 mensonges valent mieux qu'une seule vérité et une seule vérité vaut mieux que 10000  mensonges, parfois ces derniers menent directement au chemin de la vérité.

La croisé des chemins

C'est dans la grissaille que l'on peut construire son soleil, c'est aussi dans la lumière que l'on peut rencontrer la nuit.

L'utopie des gens biens

A travers une vie, aucun être ne peut se loger dans l'abris éphémère de la générosité des hommes de bien.
Il n'y a guère que son image qui puisse véhiculer le bus de son mirage, car dans le voyage d'une vie bien remplie, la part cachée du vide du mal peut monter à sa porte lorsque l'influence du danger de survivre se manifeste, c'est seulement dans le dosage de l'équilibre de la bonté que l'on peut jauger de la véracité de sa conscience.

L'hotel de la tartufferie

Dans chaque chambre ce glisse dans les draps soyeux de la comédie et du spectacle, un petit théatre ou l'art de la tartufferie s'exprime avec délicatesse et une attention particulière aux détachements du réel au profit de la posture du rôle défini.
C'est ainsi que l'on peut assister parfois à une nouvelle naissance de soi, d'une mutation ou d'une révélation, le maquillage de l'épaisseur de la couverture recouvre à peine la face cachée que le tartuffe tente de dissimuler et bien que ceci puisse aussi être une protection , la tartufferie ramballe ces vêtements aux placards de sa conscience, c'est notamment le cas des gens entretenant une belle image, car les gens bien d'hier peuvent être les bourreaux de demain.

Les légendes urbaines

C'est au centre de l'attention des petites et des grandes récrées, réelle et virtuelle, que les légendes construisent la peau de leurs vêtements.
C'est aussi dans le nombre de costumes et de coutures que l'on reconnait les artisants du défilement de la mise à nu et de l'habillement, on peut ainsi mesurer le pouvoir et le poid de leur influence sur l'oiseau de la duperie et il n'y a guère que l'ivresse du colportage pour en dresser un portrait.
C'est ainsi que tirer à plusieurs exemplaires, une légende véhicule plusieurs axes aux carrefours de la réputation.